Chaque jour, je vais au cimetière voisin fleurir la tombe de Malouisa. Mon bon chien m'accompagne. Puis je l'emmène courir au "Carré allemand", espace vert dédié aux soldats prussiens morts dans la région en 1870-71. Et je pense au poème de Rimbaud, "Le dormeur du val" (dessin).